-20% FLASH avec le code

Paysages
Peintures, dessins, photos d’art

La peinture de paysages est une pratique artistique qui consiste à représenter des scènes naturelles et panoramiques. Elle se caractérise par la reproduction fidèle et minutieuse des éléments présents dans l’environnement, tels que les montagnes, les rivières, les arbres et les nuages. De célèbres artistes tels que Claude Monet, Vincent van Gogh et Caspar David Friedrich ont créé des œuvres remarquables dans le domaine de la peinture de paysages. Parmi les œuvres phares dans ce domaine, on peut citer « Les Nymphéas » de Monet, « Les Tournesols » de van Gogh et « Le Voyageur contemplant une mer de nuages » de Friedrich. Le thème des paysages inspire les artistes depuis des siècles en raison de son lien profond avec la nature, sa beauté naturelle et son évocation de l’harmonie et de la tranquillité. En photographie artistique de paysages, des artistes tels que Ansel Adams, Galen Rowell et Sebastião Salgado ont également capturé la beauté des paysages à travers leur objectif, apportant une nouvelle dimension à cette forme d’art. Les paysages offrent un terrain fertile pour l’expression créative en raison de la diversité des motifs et des possibilités qu’ils offrent aux artistes de représenter la beauté du monde qui les entoure. Vous trouverez sur cette page des exemples de tableaux, dessins et photographies d’art sur le thème ‘Paysages’.

Les œuvres sur le thème ‘Paysages’ vous inspirent? Nos IArtistes aussi! Laissez-vous inspirer par les peintures, photographies, art digital ou dessins en vente dans notre galerie d’art.


  • La côte, près d’Antibes
    Dès 49,00

    « La côte, près d’Antibes » de Peer Nuit est une marine de style néo-impressionniste représentant une colline côtière avec deux arbres inclinés par le vent, un chemin sinueux et des fleurs sauvages. L’influence de Van Gogh, Monet et Renoir est notable.

  • La fée bleue
    Dès 49,00

    Cette photographie onirique de Jade Loupange représente une femme gracieuse sous l’eau, évoquant une fée marine. Sa robe vaporeuse et son tutu de danseuse rappellent les œuvres impressionnistes. L’interconnexion mystique entre l’humain et l’eau, source de vie, confère à l’œuvre une dimension symbolique singulière, inspirée de contes féeriques.

  • La fragilité des rêves
    Dès 49,00

    La photographie conceptuelle « La fragilité des rêves » de Martin Greet montre une femme flottant au-dessus d’une ville dense. L’œuvre juxtapose l’éphémère et l’immuable, évoquant le surréalisme de Magritte. Elle s’inspire de la « jumpology » de Halsman et du style de Bourdin, explorant les thèmes de l’aliénation urbaine et des aspirations humaines.

  • La grande vague
    Dès 49,00

    « La grande vague » de Sara Diva-Parc présente une vague monumentale sous un cadrage vertical, soulignant sa dimension sculpturale et architecturale. L’absence d’horizon renforce son autonomie visuelle, tandis que l’opposition entre fluidité et densité inscrit l’œuvre entre pictorialisme et minimalisme. La lumière façonne textures et contrastes, accentuant l’impression de mouvement suspendu.

  • La jeune fille et la mer
    Dès 300,00

    « La jeune fille et la mer » de Rosine Chufisant est une œuvre réalisée en aquarelle et encre, représentant une scène onirique aquatique. L’œuvre présente des influences de Hayao Miyazaki et Hokusai, et s’inspire des légendes japonaises sur les esprits de l’eau.

    Inspiré par

    ,
  • La lune aux étourneaux
    Dès 49,00

    « La lune aux étourneaux » de Martin Greet montre une nuée d’oiseaux semblant s’échapper d’un croissant de lune, dans une composition centrée où le mouvement évoque une écriture en formation. L’œuvre joue sur la symbolique du passage et l’effacement des formes, dans une approche conceptuelle mêlant rigueur graphique et suggestion poétique.

  • La lune rose
    Dès 49,00

    « La lune rose » de Rosine Chufisant représente une ville rétro-futuriste aux structures modulaires denses, influencée par Moebius, Syd Mead et Hugh Ferriss. Son architecture verticale, dépourvue d’humains, évoque une mégastructure autonome. L’organisation spatiale et l’absence de dystopie marquée interrogent l’évolution des environnements urbains et leur finalité.

  • La maison au bord du lac
    Dès 49,00

    « La maison au bord du lac » de Diane Darren présente une habitation isolée dans un paysage aquarellé. La composition équilibrée met en contraste l’architecture géométrique et la nature organique. Les techniques de lavis et de réserves créent une atmosphère éthérée. L’œuvre explore les thèmes de la solitude et de l’interaction homme-nature, s’inscrivant dans la tradition…

  • La maison blanche aux arbres bleus
    Dès 49,00

    Dans « La maison blanche aux arbres bleus », Diane Darren compose un paysage impressionniste contemporain mêlant dynamisme du ciel tourbillonnant à des arbres aux formes légèrement abstraites. La petite maison blanche, discrète mais centrale, contraste avec la nervosité du ciel, évoquant l’intensité dramatique des œuvres tardives de Van Gogh.

  • La mer près de Collioure
    Dès 49,00

    « La mer près de Collioure » par Peer Nuit est une peinture post-impressionniste influencée par Matisse, Derain et Cézanne. Elle dépeint une scène côtière tranquille avec des pins majestueux sur un rivage escarpé, utilisant une touche picturale expressive et une composition structurée pour créer une harmonie visuelle et une méditation sur la nature.

  • La nuit à New York
    Dès 49,00

    « La nuit à New York » de Rosine Chufisant présente des façades d’immeubles multicolores capturées de manière frontale et réaliste. Inspirée par la photographie urbaine, l’artiste adopte une approche symétrique rappelant les travaux de Gursky et de Michael Wolf.

  • La persistance du temps
    Dès 49,00

    « La persistance du temps » de Peer Nuit revisite Dalí avec une scène désertique où montres molles, sablier renversé et miroir brisé coexistent. Une femme endormie sur un divan rococo incarne l’évasion mentale. L’œuvre mêle références baroques, symbolisme du temps et agencement surréaliste d’objets fixes dans un espace suspendu.

  • La plage
    Dès 49,00

    « La plage » de Donna Glisco représente une scène balnéaire vue du ciel, où les corps humains deviennent anonymes et répétitifs. Le traitement pictural efface les visages, oppose mouvement et immobilité, et évoque une critique du tourisme de masse. La composition évoque la photographie documentaire contemporaine plus que la peinture classique.

  • La vague et le goéland
    Dès 49,00

    « La vague et le goéland » de Sara Diva-Parc présente une vague s’écrasant sur des rochers sous un ciel orageux. La composition utilise la règle des tiers, avec un goéland comme point focal. La vitesse d’obturation rapide capte le mouvement de l’eau, créant une tension entre mouvement et immobilité.

  • La ville bleue
    Dès 49,00

    « La ville bleue » de Rosine Chufisant représente une cité futuriste vide d’habitants, structurée autour d’une perspective centrale rigoureuse, peuplée de véhicules automatisés. Son dessin technique précis, influencé par Moebius et Sant’Elia, mêle architecture spéculative, ligne claire et narration suspendue, soulignant une urbanité silencieuse et sans interaction humaine.

  • La ville rose
    Dès 49,00

    « La ville rose » de Rosine Chufisant représente une cité futuriste structurée par une perspective centrale et des architectures modulaires inspirées de Moebius, Syd Mead et Hugh Ferriss. L’absence de végétation et d’habitants, combinée à des vaisseaux flottants, interroge la relation entre urbanisme technologique, mobilité aérienne et standardisation des espaces habités.

  • Lac gelé, Islande
    Dès 49,00

    « Lac gelé, Islande » de Ása Snålmed est une œuvre sobre et belle. Le lac gelé est le point central, reflétant les montagnes enneigées en arrière-plan. Les couleurs froides renforcent l’atmosphère glaciale. Inspirée par Ansel Adams et Mikko Lagerstedt, l’œuvre est équilibrée et détaillée, capturant la beauté brute de la nature islandaise.

  • Lac glaciaire, Islande
    Dès 49,00

    « Lac glaciaire, Islande » de Ása Snålmed est une représentation d’un paysage islandais. Le lac de cratère gelé aux eaux turquoises est le point central de cette composition, avec les montagnes en arrière-plan.

  • Lame de fond
    Dès 49,00

    « Lame de fond » de Sara Diva-Parc s’inspire des maîtres de la photographie marine Ray Collins et Philip Plisson. Cette œuvre allie puissance des vagues et composition soignée. Approche technique et instant décisif confèrent une présence visuelle remarquable, invitant à contempler la force de la nature par l’art photographique.

  • Le chant de la mer
    Dès 49,00

    « Le chant de la mer » de Rosine Chufisant est une aquarelle et encre représentant une femme en fusion avec la nature. Son style rappelle Hayao Miyazaki avec des formes douces et une attention aux détails naturels.

  • Le manoir fantôme
    Dès 49,00

    Le dessin « Le manoir fantôme » de Rosine Chufisant juxtapose architecture gothique et nature luxuriante. La composition asymétrique et le clair-obscur créent une tension visuelle. Les influences de Miyazaki, Friedrich et Gorey sont perceptibles. L’œuvre évoque le sublime romantique, mêlant beauté et inquiétude dans un paysage où l’humain et le naturel s’entrechoquent.

  • Le parapluie bleu
    Dès 49,00

    « Le parapluie bleu » de Karla Fidho présente une figure solitaire avec un parapluie contrastant dans une scène urbaine hivernale. Utilisant un sfumato prononcé et des glacis pour créer une brume éthérée, l’œuvre évoque l’isolement urbain et joue sur la perception visuelle, rappelant les influences de Gerhard Richter, Edward Hopper et Claude Monet.

  • Le peuple migrateur
    Dès 49,00

    « Le peuple migrateur » de Chang Baoshi, réalisé en aquarelle et gouache, présente des échassiers en vol sur un arrière-plan abstrait. Mélangeant impressionnisme, symbolisme et touches contemporaines, l’œuvre symbolise la migration et la quête de liberté. La juxtaposition des techniques et des styles renforce l’originalité de l’artiste.

  • Le portail du temps
    Dès 49,00

    « Le portail du temps » de Rosine Chufisant est un dessin urbain futuriste structuré par une symétrie frontale rigide et un portail central lumineux. L’œuvre combine références à l’architecture utopique, au symbolisme graphique et au cyberpunk, sans présence humaine, évoquant un passage spirituel au sein d’une mégastructure technologique.

  • Le rassemblement des étourneaux noirs
    Dès 49,00

    « Le rassemblement des étourneaux noirs » de Martin Greet est une photographie d’art capturant une nuée d’étourneaux volant au-dessus d’une mer démontée. Inspiré par Philip Plisson, Vincent Munier et Andy Rouse, Greet crée une composition visuelle intrigante.

  • Le rouleau
    Dès 49,00

    « Le rouleau » de Sara Diva-Parc capture la puissance impressionnante d’une vague monumentale de la mer bretonne. La composition verticale, avec son format 2:3, met en évidence le rouleau caractéristique à l’extrémité de la vague, évoquant l’intensité d’un cyclone. La photographie, habilement retravaillée en post-production, offre une expérience visuelle immersive qui témoigne de la grandeur et…

    Inspiré par

    ,
  • Les amants de New York
    Dès 49,00

    « Les amants de New York » représente un couple allongé sur un toit, surplombant une ville quadrillée et animée. La perspective plongeante crée un effet de vertige, renforçant la tension entre l’intimité des personnages et l’immensité urbaine. L’architecture monumentale structure l’image, évoquant Otomo et Schuiten.

  • Les deux lunes
    Dès 49,00

    « Les deux lunes » de Rosine Chufisant représente une ville futuriste verticale mêlant architecture modulaire, végétation intégrée et absence d’habitants. L’œuvre combine influences de la gravure architecturale, de la bande dessinée visionnaire et de la science-fiction, avec un style minutieux où chaque détail construit un monde dense, autonome et spéculatif.

  • Les guetteurs du vide
    Dès 49,00

    « Les guetteurs du vide » de Rosine Chufisant représente quatre amis contemplant un canyon urbain depuis une corniche d’immeuble. L’œuvre fusionne l’esthétique manga avec l’illustration architecturale européenne. Sa composition verticale, sa perspective en plongée et son train solitaire traversant des infrastructures monumentales créent une tension entre présence humaine et urbanisme déshumanisant inspiré de Otomo, Schuiten et…

  • Les montagnes bleues
    Dès 49,00

    “Les montagnes bleues” de Chang Baoshi est une représentation de la nature avec une cascade centrale et une végétation luxuriante. L’œuvre, inspirée de l’art traditionnel asiatique, présente une composition dynamique et diagonale.

  • Les trois goélands
    Dès 49,00

    « Les trois goélands » de Sara Diva-Parc est un paysage marin minimaliste qui fusionne ciel et mer. L’œuvre se distingue par son flou artistique, évoquant les techniques de Turner et Sugimoto. La présence discrète des goélands ajoute du dynamisme à la composition épurée. Cette pièce explore la temporalité et l’éphémère dans la nature.

  • Les vieux amis
    Dès 49,00

    « Les vieux amis » représente quatre hommes assis face à la mer, figés dans une posture silencieuse. L’absence d’interaction, les chapeaux posés au sol et le cadrage frontal évoquent un lien entre isolement et souvenir. L’influence de Magritte, Hopper et la peinture métaphysique souligne l’ambiguïté entre réalisme et onirisme.

  • Los Chicagos
    Dès 49,00

    « Los Chicagos » d’Elias Luter fusionne les paysages de Los Angeles et Chicago dans une composition dense. Cette photographie composite présente une skyline fictive avec une profondeur de champ étendue. L’œuvre joue sur les contrastes entre rigidité architecturale et douceur atmosphérique, explorant les thèmes de l’isolement urbain et de la perception de l’espace citadin.

  • Maison bleue, Bretagne
    Dès 49,00

    La photographie d’art intitulée “Maison bleue, Bretagne” réalisée par Sara Diva-Parc capture une petite maison isolée au milieu d’un paysage naturel dans le Morbihan en Bretagne. A l’instar du photographe américain Ed Freemann Sara Diva-Parc amène une dimension poétique et nostalgique des zones rurales ou isolées.

  • Mer aux chapeaux colorés
    Dès 49,00

    « Mer aux chapeaux colorés » de Peer Nuit représente quatre figures immobiles, vues de dos, alignées face à la mer. Leur anonymat et l’absence d’interaction rappellent Magritte, Hopper et De Chirico. La composition rigoureuse, la lumière diffuse et l’atmosphère suspendue créent une tension entre réalisme et onirisme.

  • Métropole (in)urbaine
    Dès 49,00

    « Métropole (in)urbaine » d’Elias Luter est une photographie composite de gratte-ciel colorés. Inspirée par Andreas Gursky et Michael Wolf, elle explore la densité urbaine et la vie moderne à travers des couleurs contrastées et une perspective verticale.


Les catégories d’œuvres d’art

Explorez les différentes thématiques et les diverses techniques artistiques utilisées dans les œuvres d’art de maiiart.