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« Femme rêveuse aux coquelicots rouges » de Rosine Chufisant fusionne Art Nouveau et esthétique manga dans un portrait onirique. L’œuvre présente une femme asiatique aux yeux clos, entourée de motifs aquatiques et de coquelicots flottants. La composition verticale, les lignes fluides et le mélange de techniques picturales créent une atmosphère éthérée, évoquant l’introspection et le rêve.
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« Moi et mon chien III » de Ken Mikaige présente un astronaute et un chien de berger marchant sur une colline écossaise. Cette photographie juxtapose technologie et nature, évoquant le surréalisme et le dépaysement. L’œuvre s’inscrit dans la tradition du photomontage, rappelant les tableaux vivants de Gregory Crewdson et les compositions de Magritte, tout en abordant…
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« Empreinte carbone » d’Elias Luter utilise la double exposition pour fusionner un visage sculpté dans la roche avec la skyline de New York. Cette œuvre explore la relation entre nature et urbanisation, évoquant les photomontages surréalistes et la nouvelle topographie. La composition verticale et la juxtaposition des textures créent une réflexion sur l’anthropocène et l’impact humain…
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L’œuvre « Chemin provençal » d’Elke Palu présente un paysage estival à la limite de l’abstraction. Elle se distingue par son traitement du concept japonais « ma », matérialisé par un chemin central. L’artiste emploie des empâtements et une simplification des formes, fusionnant influences impressionnistes et post-impressionnistes avec une interprétation contemporaine du paysage provençal.
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« La vague et le goéland » de Sara Diva-Parc présente une vague s’écrasant sur des rochers sous un ciel orageux. La composition utilise la règle des tiers, avec un goéland comme point focal. La vitesse d’obturation rapide capte le mouvement de l’eau, créant une tension entre mouvement et immobilité.
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« Volcan enneigé, Alaska » de Ása Snålmed représente un volcan enneigé en activité sous un ciel orageux, avec un petit avion jaune volant près du sommet. La composition utilise des lignes diagonales et capture des contrastes entre la neige et les nuages, évoquant des thèmes de puissance et de fragilité de la nature.
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« Les trois goélands » de Sara Diva-Parc est un paysage marin minimaliste qui fusionne ciel et mer. L’œuvre se distingue par son flou artistique, évoquant les techniques de Turner et Sugimoto. La présence discrète des goélands ajoute du dynamisme à la composition épurée. Cette pièce explore la temporalité et l’éphémère dans la nature.
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« Le village rose » d’Elke Palu présente une interprétation semi-abstraite d’un paysage urbain. La composition mêle éléments architecturaux et formes organiques, créant un espace onirique. Des touches énergiques et une perspective déformée caractérisent l’œuvre. L’inclusion d’éléments figuratifs stylisés ajoute une dimension narrative à cette vision urbaine non conventionnelle.
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« Le voile » de Peer Nuit présente une figure féminine voilée, vêtue d’une robe ornée de fleurs, posant sa main sur un tissu décoré. La technique rappelle Léonard de Vinci et Ingres, avec une attention aux détails et à la lumière. L’œuvre explore la dualité entre révélation et dissimulation.
L’Avenue Rouge de Peer Nuit représente une scène parisienne dynamique avec une large artère centrale, des bâtiments stylisés et une foule contrastée. L’œuvre combine des influences de Dufy, Chagall et Léger, mêlant réalisme et onirisme, et explore la tension entre individualité et masse urbaine dans un contexte moderne.
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« Le parapluie bleu » de Karla Fidho présente une figure solitaire avec un parapluie contrastant dans une scène urbaine hivernale. Utilisant un sfumato prononcé et des glacis pour créer une brume éthérée, l’œuvre évoque l’isolement urbain et joue sur la perception visuelle, rappelant les influences de Gerhard Richter, Edward Hopper et Claude Monet.
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L’œuvre « Perroquet iroquois » d’Ása Snålmed établit un parallèle entre les cultures autochtones et la faune menacée. La crête du perroquet, évoquant les coiffes iroquoises, souligne les similitudes entre le sort des peuples amérindiens et celui des espèces en danger. Cette composition centrée questionne la préservation de la biodiversité et de la diversité culturelle.
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« Couleur San Francisco » de Rosine Chufisant représente la skyline de la ville avec ses monuments iconiques. L’œuvre combine des influences fauvistes et cubistes, jouant sur la géométrie et la perspective. La composition fragmentée et l’abstraction partielle créent une tension visuelle, invitant à une lecture active. L’absence de figures humaines met en valeur l’architecture.
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La photographie « Atop a skyscraper IV » de Jade Loupange montre une femme en robe sur le rebord d’un gratte-ciel. L’œuvre se distingue par son cadrage en contre-plongée, l’asymétrie du gant unique, et le contraste entre la netteté du sujet et le flou urbain. Elle évoque l’aliénation urbaine et questionne les stéréotypes de genre.
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Le dessin « Le manoir fantôme » de Rosine Chufisant juxtapose architecture gothique et nature luxuriante. La composition asymétrique et le clair-obscur créent une tension visuelle. Les influences de Miyazaki, Friedrich et Gorey sont perceptibles. L’œuvre évoque le sublime romantique, mêlant beauté et inquiétude dans un paysage où l’humain et le naturel s’entrechoquent.
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« Paysage hivernal » de Diane Darren présente un village enneigé, mêlant influences impressionnistes et romantiques. L’œuvre se distingue par sa composition rythmée, jouant sur les contrastes entre masses et volumes. La technique picturale, évoquant le sfumato, crée une tension entre détail et suggestion. Le traitement de la lumière confère une dimension onirique au paysage.
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