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Œuvres

Achetez des œuvres uniques, créées par nos artistes, propulsées à l’intelligence artificielle, inspirées par les plus grands artistes de tous les temps.



     

    • La course
      Dès 49,00

      « La course » de Rosine Chufisant est un dessin d’architecture futuriste structuré par une perspective rigoureuse et une composition axée sur la vitesse. L’œuvre mêle influences de Schuiten, Otomo et Ferriss, intégrant des formes monumentales, un espace sans présence humaine, et un véhicule servant de guide visuel dans une cité idéalisée.

    • Paysage arc-en-ciel
      Dès 49,00

      « Paysage arc-en-ciel » de Donna Glisco est une illustration psychédélique à encadrer mêlant géométrie optique et paysage symboliste. Des faisceaux lumineux structurent l’espace en perspective centrale, tandis que les formes végétales stylisées rappellent un imaginaire naïf. L’absence de figure humaine invite à une lecture introspective de la scène.

    • Paysage coloré au soleil rose
      Dès 49,00

      « Paysage coloré au soleil rose » d’Elke Palu présente une composition structurée par des formes géométriques et organiques mêlées, dans une logique décorative inspirée de l’art déco et du post-impressionnisme. L’œuvre se distingue par l’absence de perspective, le traitement graphique des éléments naturels et l’équilibre entre abstraction et figuration.

    • Tigre fauve dans jardin pop
      Dès 49,00

      « Tigre fauve dans jardin pop » représente un tigre immobile au centre d’un décor végétal stylisé, sans profondeur, inspiré de Matisse, Rousseau et Wiley. L’œuvre se distingue par sa frontalité, son traitement ornemental, sa bidimensionnalité et sa lecture symbolique de l’animal comme figure méditative et totem intérieur.

    • La foule rose
      Dès 49,00

      « La foule rose » de Donna Glisco montre une multitude de figures vues de dos, sans visages, différenciées par leurs vêtements. L’œuvre se distingue par sa frontalité, l’aplatissement de l’espace, la répétition des formes humaines et l’absence de hiérarchie visuelle, créant un motif collectif proche de l’abstraction.

    • La lune aux étourneaux
      Dès 49,00

      « La lune aux étourneaux » de Martin Greet montre une nuée d’oiseaux semblant s’échapper d’un croissant de lune, dans une composition centrée où le mouvement évoque une écriture en formation. L’œuvre joue sur la symbolique du passage et l’effacement des formes, dans une approche conceptuelle mêlant rigueur graphique et suggestion poétique.

    • La sentinelle
      Dès 49,00

      « La sentinelle » de Leo Delorni montre une figure féminine robotisée en profil hiératique, isolée dans un espace vide. Son armure épurée, l’aile stylisée sur le heaume et son visage neutre créent une fusion entre sacré et technologie, évoquant un être liminaire entre mythe ancien et univers dystopique.

    • La plage
      Dès 49,00

      « La plage » de Donna Glisco représente une scène balnéaire vue du ciel, où les corps humains deviennent anonymes et répétitifs. Le traitement pictural efface les visages, oppose mouvement et immobilité, et évoque une critique du tourisme de masse. La composition évoque la photographie documentaire contemporaine plus que la peinture classique.

    • Les deux lunes
      Dès 49,00

      « Les deux lunes » de Rosine Chufisant représente une ville futuriste verticale mêlant architecture modulaire, végétation intégrée et absence d’habitants. L’œuvre combine influences de la gravure architecturale, de la bande dessinée visionnaire et de la science-fiction, avec un style minutieux où chaque détail construit un monde dense, autonome et spéculatif.

    • La ville bleue
      Dès 49,00

      « La ville bleue » de Rosine Chufisant représente une cité futuriste vide d’habitants, structurée autour d’une perspective centrale rigoureuse, peuplée de véhicules automatisés. Son dessin technique précis, influencé par Moebius et Sant’Elia, mêle architecture spéculative, ligne claire et narration suspendue, soulignant une urbanité silencieuse et sans interaction humaine.

    • Feuilles d’automne mauves et roses
      Dès 49,00

      « Feuilles d’automne mauves et roses » de Diane Darren présente des branches fines et des feuilles stylisées sur fond neutre, sans ancrage spatial. L’œuvre mêle précision du trait et diffusion fluide de l’aquarelle. Elle se distingue par son économie formelle, son vide actif et son inspiration du wabi-sabi japonais.

    • La persistance du temps
      Dès 49,00

      « La persistance du temps » de Peer Nuit revisite Dalí avec une scène désertique où montres molles, sablier renversé et miroir brisé coexistent. Une femme endormie sur un divan rococo incarne l’évasion mentale. L’œuvre mêle références baroques, symbolisme du temps et agencement surréaliste d’objets fixes dans un espace suspendu.

    • Le portail du temps
      Dès 49,00

      « Le portail du temps » de Rosine Chufisant est un dessin urbain futuriste structuré par une symétrie frontale rigide et un portail central lumineux. L’œuvre combine références à l’architecture utopique, au symbolisme graphique et au cyberpunk, sans présence humaine, évoquant un passage spirituel au sein d’une mégastructure technologique.

    • Bleu pop
      Dès 49,00

      « Bleu pop » de Willa Megston montre une femme dissimulant son visage derrière un magazine illustré, créant un effet de substitution entre le réel et l’image imprimée. La composition frontale et la mise en scène empruntent au pop art et interrogent la construction médiatique des identités féminines.

    • Rose pop
      Dès 49,00

      « Rose pop » de Willa Megston montre une femme tenant un livre dont la couverture remplace visuellement son visage par un dessin pop art. Ce dispositif crée un effet d’effacement de l’identité. L’œuvre interroge les constructions visuelles du féminin en mêlant photographie, citation graphique et mise en scène conceptuelle

    • La cité bleue
      Dès 49,00

      « La cité bleue » de Peer Nuit présente trois hommes en chapeaux de dos fixant une vue urbaine moderne par une fenêtre. Cette œuvre combine un rendu réaliste avec une atmosphère énigmatique et surréelle. Sa composition frontale et ses figures anonymes rappellent des influences comme Magritte et Hopper, créant une scène singulière.

    • Hot-dog sur fond vert
      Dès 49,00

      « Hot-dog sur fond vert » de Donna Glisco représente un hot-dog isolé sur fond uni, dans un style mêlant pop art et hyperréalisme. La frontalité, la mise en scène minimaliste et la suggestion sensuelle de la saucisse détournent l’objet banal en image iconique, entre critique du consumérisme et symbolique corporelle.

    • Première de couverture (orange)
      Dès 49,00

      « Première de couverture (orange) » de Jade Loupange montre une femme dont le visage se confond avec une couverture de magazine tenue devant elle, créant un trompe-l’œil. L’image interroge l’identité, la représentation médiatique et le glissement entre réalité et fiction par un cadrage frontal et une mise en scène figée.

    • Les guetteurs du vide
      Dès 49,00

      « Les guetteurs du vide » de Rosine Chufisant représente quatre amis contemplant un canyon urbain depuis une corniche d’immeuble. L’œuvre fusionne l’esthétique manga avec l’illustration architecturale européenne. Sa composition verticale, sa perspective en plongée et son train solitaire traversant des infrastructures monumentales créent une tension entre présence humaine et urbanisme déshumanisant inspiré de Otomo, Schuiten et…

    • Atop a skyscraper VI
      Dès 49,00

      « Atop a skyscraper VI » montre une femme en jupe au bord d’un gratte-ciel, figée entre équilibre et vertige. Le contraste entre sa posture tendue et l’architecture rigide interroge la place du corps féminin dans l’espace urbain. L’image mêle tension graphique, mise en scène et référence à la photographie de mode.

    • La vie en rouge
      Dès 49,00

      « La vie en rouge » de Donna Glisco montre une femme allongée versant du vin dans un verre tenu au-dessus d’elle, les yeux fermés. Le geste, à la fois intime et décalé, mêle insouciance et légèreté. Le titre joue sur l’expression « La vie en rose » avec une touche ironique.

    • Les vieux amis
      Dès 49,00

      « Les vieux amis » représente quatre hommes assis face à la mer, figés dans une posture silencieuse. L’absence d’interaction, les chapeaux posés au sol et le cadrage frontal évoquent un lien entre isolement et souvenir. L’influence de Magritte, Hopper et la peinture métaphysique souligne l’ambiguïté entre réalisme et onirisme.

    • Mer aux chapeaux colorés
      Dès 49,00

      « Mer aux chapeaux colorés » de Peer Nuit représente quatre figures immobiles, vues de dos, alignées face à la mer. Leur anonymat et l’absence d’interaction rappellent Magritte, Hopper et De Chirico. La composition rigoureuse, la lumière diffuse et l’atmosphère suspendue créent une tension entre réalisme et onirisme.

    • Les amants de New York
      Dès 49,00

      « Les amants de New York » représente un couple allongé sur un toit, surplombant une ville quadrillée et animée. La perspective plongeante crée un effet de vertige, renforçant la tension entre l’intimité des personnages et l’immensité urbaine. L’architecture monumentale structure l’image, évoquant Otomo et Schuiten.

    • La cité orange
      Dès 49,00

      « La cité orange » de Rosine Chufisant présente une ville futuriste structurée par une perspective centrale et des gratte-ciels élancés. Son style hybride mêle illustration architecturale et art numérique, avec des lignes précises rappelant les études de Sant’Elia et Ferriss. L’absence humaine et la monumentalité interrogent la relation entre urbanisme et isolement.

    • Les vases bleus
      Dès 49,00

      « Les vases bleus » de Peer Nuit présente un chat figé entre deux vases en porcelaine, intégrant un élément vivant à une nature morte rigoureuse. L’influence du japonisme et des natures mortes modernes se perçoit dans la frontalité de la composition, la stylisation des formes et la tension entre immobilité et présence animale.

    • La grande vague
      Dès 49,00

      « La grande vague » de Sara Diva-Parc présente une vague monumentale sous un cadrage vertical, soulignant sa dimension sculpturale et architecturale. L’absence d’horizon renforce son autonomie visuelle, tandis que l’opposition entre fluidité et densité inscrit l’œuvre entre pictorialisme et minimalisme. La lumière façonne textures et contrastes, accentuant l’impression de mouvement suspendu.

    • La cité rouge
      Dès 49,00

      « La cité rouge » de Rosine Chufisant présente une ville futuriste structurée par une architecture massive et géométrique. Un gratte-ciel arrondi domine la composition, son ouverture sombre suggérant une transition vers l’inconnu. L’absence de figures humaines et la perspective amplifiée renforcent une vision urbaine où technologie et monumentalité redéfinissent l’espace.

    • New York Retropolis
      Dès 49,00

      « New York Retropolis » représente une ville futuriste où gratte-ciels, ponts et structures suspendues s’entrelacent en un paysage dense. La statue de la Liberté et un Brooklyn Bridge réinventé ancrent la scène dans un imaginaire new-yorkais. Une femme en rouge, isolée sur un balcon, observe cette métropole verticale en perpétuelle mutation.

    • New York 2099
      Dès 49,00

      « New York 2099 » de Rosine Chufisant représente une mégalopole futuriste aux structures denses et verticales, intégrant jardins suspendus et plateformes flottantes. Inspirée de Moebius, Mead et Piranesi, l’œuvre juxtapose architecture modulaire et perspectives illusionnistes, évoquant une urbanisation infinie entre utopie technologique et fragmentation spatiale.

    • Zèbre pop
      Dès 49,00

      « Zèbre pop » d’Elke Palu présente un réseau de lignes sinueuses créant une instabilité optique proche de l’Op Art. Inspirée par Bridget Riley, Keith Haring et Victor Vasarely, l’œuvre joue sur le mouvement, la répétition et l’absence de hiérarchie, mêlant abstraction, graphisme et une approche systématique de la composition.

    • Mars city 2099
      Dès 49,00

      « Mars City 2099 » de Rosine Chufisant représente une cité futuriste dense, structurée en modules empilés et reliés par des passerelles. L’urbanisme vertical et la perspective accentuée rappellent Syd Mead, tandis que la ligne précise évoque Moebius. L’ajout de végétation contraste avec l’architecture mécanisée, explorant l’équilibre entre technologie et nature.

    • Empire slate, New York
      Dès 49,00

      « Empire Slate, New York » d’Elias Luter fragmente la ville en bandes verticales alternant opacité et transparence. Cette déconstruction évoque les strates temporelles de New York, mêlant la rigueur de Sheeler aux recompositions urbaines de Couturier, tandis que l’atmosphère brumeuse rappelle les vues modernistes de Stieglitz sur l’architecture urbaine.

    • La lune rose
      Dès 49,00

      « La lune rose » de Rosine Chufisant représente une ville rétro-futuriste aux structures modulaires denses, influencée par Moebius, Syd Mead et Hugh Ferriss. Son architecture verticale, dépourvue d’humains, évoque une mégastructure autonome. L’organisation spatiale et l’absence de dystopie marquée interrogent l’évolution des environnements urbains et leur finalité.

    • La ville rose
      Dès 49,00

      « La ville rose » de Rosine Chufisant représente une cité futuriste structurée par une perspective centrale et des architectures modulaires inspirées de Moebius, Syd Mead et Hugh Ferriss. L’absence de végétation et d’habitants, combinée à des vaisseaux flottants, interroge la relation entre urbanisme technologique, mobilité aérienne et standardisation des espaces habités.

    • Arbres en hiver II
      Dès 49,00

      « Arbres en hiver II » de Diane Darren représente une colline sombre surmontée d’arbres nus, aux branches entrelacées, contrastant avec un ciel uniforme. Une route sinueuse guide le regard vers un horizon masqué. L’opposition entre formes pleines et lignes épurées crée une tension entre fixité et mouvement, ancrage et élévation.


    Les catégories d’œuvres d’art

    Explorez les différentes thématiques et les diverses techniques artistiques utilisées dans les œuvres d’art de maiiart.