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L’art à votre couleur : Jacques a dit, bleu !

Achetez des œuvres uniques, créées par nos artistes, propulsées à l’intelligence artificielle, inspirées par les plus grands artistes de tous les temps.



[110 résultats]

  • La course
    Dès 49,00

    « La course » de Rosine Chufisant est un dessin d’architecture futuriste structuré par une perspective rigoureuse et une composition axée sur la vitesse. L’œuvre mêle influences de Schuiten, Otomo et Ferriss, intégrant des formes monumentales, un espace sans présence humaine, et un véhicule servant de guide visuel dans une cité idéalisée.

  • Paysage arc-en-ciel
    Dès 49,00

    « Paysage arc-en-ciel » de Donna Glisco est une illustration psychédélique à encadrer mêlant géométrie optique et paysage symboliste. Des faisceaux lumineux structurent l’espace en perspective centrale, tandis que les formes végétales stylisées rappellent un imaginaire naïf. L’absence de figure humaine invite à une lecture introspective de la scène.

  • La lune aux étourneaux
    Dès 49,00

    « La lune aux étourneaux » de Martin Greet montre une nuée d’oiseaux semblant s’échapper d’un croissant de lune, dans une composition centrée où le mouvement évoque une écriture en formation. L’œuvre joue sur la symbolique du passage et l’effacement des formes, dans une approche conceptuelle mêlant rigueur graphique et suggestion poétique.

  • La plage
    Dès 49,00

    « La plage » de Donna Glisco représente une scène balnéaire vue du ciel, où les corps humains deviennent anonymes et répétitifs. Le traitement pictural efface les visages, oppose mouvement et immobilité, et évoque une critique du tourisme de masse. La composition évoque la photographie documentaire contemporaine plus que la peinture classique.

  • Les deux lunes
    Dès 49,00

    « Les deux lunes » de Rosine Chufisant représente une ville futuriste verticale mêlant architecture modulaire, végétation intégrée et absence d’habitants. L’œuvre combine influences de la gravure architecturale, de la bande dessinée visionnaire et de la science-fiction, avec un style minutieux où chaque détail construit un monde dense, autonome et spéculatif.

  • La ville bleue
    Dès 49,00

    « La ville bleue » de Rosine Chufisant représente une cité futuriste vide d’habitants, structurée autour d’une perspective centrale rigoureuse, peuplée de véhicules automatisés. Son dessin technique précis, influencé par Moebius et Sant’Elia, mêle architecture spéculative, ligne claire et narration suspendue, soulignant une urbanité silencieuse et sans interaction humaine.

  • La persistance du temps
    Dès 49,00

    « La persistance du temps » de Peer Nuit revisite Dalí avec une scène désertique où montres molles, sablier renversé et miroir brisé coexistent. Une femme endormie sur un divan rococo incarne l’évasion mentale. L’œuvre mêle références baroques, symbolisme du temps et agencement surréaliste d’objets fixes dans un espace suspendu.

  • Le portail du temps
    Dès 49,00

    « Le portail du temps » de Rosine Chufisant est un dessin urbain futuriste structuré par une symétrie frontale rigide et un portail central lumineux. L’œuvre combine références à l’architecture utopique, au symbolisme graphique et au cyberpunk, sans présence humaine, évoquant un passage spirituel au sein d’une mégastructure technologique.

  • Bleu pop
    Dès 49,00

    « Bleu pop » de Willa Megston montre une femme dissimulant son visage derrière un magazine illustré, créant un effet de substitution entre le réel et l’image imprimée. La composition frontale et la mise en scène empruntent au pop art et interrogent la construction médiatique des identités féminines.

  • La cité bleue
    Dès 49,00

    « La cité bleue » de Peer Nuit présente trois hommes en chapeaux de dos fixant une vue urbaine moderne par une fenêtre. Cette œuvre combine un rendu réaliste avec une atmosphère énigmatique et surréelle. Sa composition frontale et ses figures anonymes rappellent des influences comme Magritte et Hopper, créant une scène singulière.

  • Les vieux amis
    Dès 49,00

    « Les vieux amis » représente quatre hommes assis face à la mer, figés dans une posture silencieuse. L’absence d’interaction, les chapeaux posés au sol et le cadrage frontal évoquent un lien entre isolement et souvenir. L’influence de Magritte, Hopper et la peinture métaphysique souligne l’ambiguïté entre réalisme et onirisme.

  • Mer aux chapeaux colorés
    Dès 49,00

    « Mer aux chapeaux colorés » de Peer Nuit représente quatre figures immobiles, vues de dos, alignées face à la mer. Leur anonymat et l’absence d’interaction rappellent Magritte, Hopper et De Chirico. La composition rigoureuse, la lumière diffuse et l’atmosphère suspendue créent une tension entre réalisme et onirisme.

  • Les amants de New York
    Dès 49,00

    « Les amants de New York » représente un couple allongé sur un toit, surplombant une ville quadrillée et animée. La perspective plongeante crée un effet de vertige, renforçant la tension entre l’intimité des personnages et l’immensité urbaine. L’architecture monumentale structure l’image, évoquant Otomo et Schuiten.

  • Les vases bleus
    Dès 49,00

    « Les vases bleus » de Peer Nuit présente un chat figé entre deux vases en porcelaine, intégrant un élément vivant à une nature morte rigoureuse. L’influence du japonisme et des natures mortes modernes se perçoit dans la frontalité de la composition, la stylisation des formes et la tension entre immobilité et présence animale.

  • La grande vague
    Dès 49,00

    « La grande vague » de Sara Diva-Parc présente une vague monumentale sous un cadrage vertical, soulignant sa dimension sculpturale et architecturale. L’absence d’horizon renforce son autonomie visuelle, tandis que l’opposition entre fluidité et densité inscrit l’œuvre entre pictorialisme et minimalisme. La lumière façonne textures et contrastes, accentuant l’impression de mouvement suspendu.

  • New York Retropolis
    Dès 49,00

    « New York Retropolis » représente une ville futuriste où gratte-ciels, ponts et structures suspendues s’entrelacent en un paysage dense. La statue de la Liberté et un Brooklyn Bridge réinventé ancrent la scène dans un imaginaire new-yorkais. Une femme en rouge, isolée sur un balcon, observe cette métropole verticale en perpétuelle mutation.

  • New York 2099
    Dès 49,00

    « New York 2099 » de Rosine Chufisant représente une mégalopole futuriste aux structures denses et verticales, intégrant jardins suspendus et plateformes flottantes. Inspirée de Moebius, Mead et Piranesi, l’œuvre juxtapose architecture modulaire et perspectives illusionnistes, évoquant une urbanisation infinie entre utopie technologique et fragmentation spatiale.

  • Mars city 2099
    Dès 49,00

    « Mars City 2099 » de Rosine Chufisant représente une cité futuriste dense, structurée en modules empilés et reliés par des passerelles. L’urbanisme vertical et la perspective accentuée rappellent Syd Mead, tandis que la ligne précise évoque Moebius. L’ajout de végétation contraste avec l’architecture mécanisée, explorant l’équilibre entre technologie et nature.

  • Empire slate, New York
    Dès 49,00

    « Empire Slate, New York » d’Elias Luter fragmente la ville en bandes verticales alternant opacité et transparence. Cette déconstruction évoque les strates temporelles de New York, mêlant la rigueur de Sheeler aux recompositions urbaines de Couturier, tandis que l’atmosphère brumeuse rappelle les vues modernistes de Stieglitz sur l’architecture urbaine.

  • La lune rose
    Dès 49,00

    « La lune rose » de Rosine Chufisant représente une ville rétro-futuriste aux structures modulaires denses, influencée par Moebius, Syd Mead et Hugh Ferriss. Son architecture verticale, dépourvue d’humains, évoque une mégastructure autonome. L’organisation spatiale et l’absence de dystopie marquée interrogent l’évolution des environnements urbains et leur finalité.

  • Arbres en hiver II
    Dès 49,00

    « Arbres en hiver II » de Diane Darren représente une colline sombre surmontée d’arbres nus, aux branches entrelacées, contrastant avec un ciel uniforme. Une route sinueuse guide le regard vers un horizon masqué. L’opposition entre formes pleines et lignes épurées crée une tension entre fixité et mouvement, ancrage et élévation.

  • New Tokyo 2099
    Dès 49,00

    « New Tokyo 2099 » de Rosine Chufisant représente un pilote solitaire survolant une ville futuriste, dense et verticalisée, où la précision des lignes souligne une perspective vertigineuse. L’œuvre, influencée par la science-fiction européenne et japonaise, explore le lien entre l’individu et une urbanisation massive, mêlant minimalisme technologique et monumentalité architecturale.

  • New York matin clair
    Dès 49,00

    « New York matin clair » de Karla Fidho explore l’interaction entre la monumentalité des gratte-ciels et une lumière étudiée avec précision. Inspirée par Monet, l’œuvre capte la fugacité atmosphérique tout en s’inscrivant dans une démarche post-impressionniste structurée. La tension entre rigidité architecturale et fluidité lumineuse confère une profondeur contemplative à cette scène urbaine.

  • Femme bleu et rose
    Dès 49,00

    « Femme bleu et rose » de Rosine Chufisant est un portrait en profil mêlant aplats simplifiés et textures sculpturales. La coiffure sphérique contraste avec le fond dégradé, tandis que l’œuvre explore une tension entre abstraction et figuration. Elle s’inscrit dans une tradition néo-pop, évoquant des thèmes identitaires et des références aux codes artistiques modernes.

  • Arbres en hiver
    Dès 49,00

    « Arbres en hiver » de Diane Darren est une œuvre minimaliste où des troncs élancés se dressent devant des collines géométriques. La composition équilibre abstraction et figuration, avec des lignes verticales contrastant des formes planes. Inspirée par Nicolas de Staël, Zao Wou-Ki et Andrew Wyeth, elle explore silence, dépouillement et symbolisme naturel.

  • Femme endormie aux fleurs
    Dès 49,00

    « Femme endormie aux fleurs » de Leo Delorni représente une jeune femme allongée dans un environnement floral, où son corps et les motifs se mêlent harmonieusement. Inspirée des préraphaélites, de Klimt et de Monet, l’œuvre se distingue par l’intégration des motifs naturels, la lumière diffuse et une continuité entre figure et décor.

  • La maison blanche aux arbres bleus
    Dès 49,00

    Dans « La maison blanche aux arbres bleus », Diane Darren compose un paysage impressionniste contemporain mêlant dynamisme du ciel tourbillonnant à des arbres aux formes légèrement abstraites. La petite maison blanche, discrète mais centrale, contraste avec la nervosité du ciel, évoquant l’intensité dramatique des œuvres tardives de Van Gogh.

  • La Jeune Fille au Cheval Blanc
    Dès 49,00

    « La Jeune Fille au Cheval Blanc », de Peer Nuit, représente une jeune femme aux cheveux rouges en interaction avec un cheval blanc dans un paysage urbain onirique. L’œuvre, inspirée de Chagall et Dufy, explore un lien fusionnel entre humain et animal, renforcé par des motifs ornementaux et une spatialité flottante.

  • Desert dune
    Dès 49,00

    L’œuvre « Desert Dune » d’Elke Palu présente un paysage désertique abstrait où des dunes ondulées s’entrelacent avec des montagnes en arrière-plan, traduisant une géométrie naturelle par des formes fluides et simplifiées. La composition joue sur la profondeur sans perspective classique, évoquant des influences modernes et explorant l’essence visuelle et émotionnelle du désert.

  • Paris Plage
    Dès 49,00

    « Paris Plage » d’Elke Palu est une scène balnéaire stylisée où des silhouettes humaines simplifiées évoquent l’essentiel du loisir estival. Par des formes épurées et un cadrage resserré, l’artiste capte une atmosphère de douceur et de simplicité, mêlant abstraction et symbolisme pour créer une vision universelle du plaisir balnéaire.

  • L’aquarium bleu
    Dès 49,00

    « L’aquarium bleu » de Diane Darren propose une scène onirique où des poissons et des fleurs flottent sans gravité dans un espace indéfini. La technique mixte d’huile et de collage crée une texture palpable, tandis que la composition, inspirée de Klee et Chagall, mêle densité et légèreté, évoquant un univers méditatif et surréaliste.

    Inspiré par

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  • American golfic
    Dès 49,00

    « American Golfic » de Peer Nuit réinterprète le tableau « American Gothic » de Grant Wood en remplaçant la fourche par un club de golf. Cette modification subtile transforme une icône de l’art américain en commentaire sur l’évolution des valeurs sociétales. L’œuvre conserve le style réaliste et la composition frontale de l’original, créant un contraste entre tradition rurale…

  • Fille rêveuse aux coquelicots
    Dès 49,00

    « Femme rêveuse aux coquelicots rouges » de Rosine Chufisant fusionne Art Nouveau et esthétique manga dans un portrait onirique. L’œuvre présente une femme asiatique aux yeux clos, entourée de motifs aquatiques et de coquelicots flottants. La composition verticale, les lignes fluides et le mélange de techniques picturales créent une atmosphère éthérée, évoquant l’introspection et le rêve.

  • Chemin provençal
    Dès 49,00

    L’œuvre « Chemin provençal » d’Elke Palu présente un paysage estival à la limite de l’abstraction. Elle se distingue par son traitement du concept japonais « ma », matérialisé par un chemin central. L’artiste emploie des empâtements et une simplification des formes, fusionnant influences impressionnistes et post-impressionnistes avec une interprétation contemporaine du paysage provençal.

  • La vague et le goéland
    Dès 49,00

    « La vague et le goéland » de Sara Diva-Parc présente une vague s’écrasant sur des rochers sous un ciel orageux. La composition utilise la règle des tiers, avec un goéland comme point focal. La vitesse d’obturation rapide capte le mouvement de l’eau, créant une tension entre mouvement et immobilité.

  • Les trois goélands
    Dès 49,00

    « Les trois goélands » de Sara Diva-Parc est un paysage marin minimaliste qui fusionne ciel et mer. L’œuvre se distingue par son flou artistique, évoquant les techniques de Turner et Sugimoto. La présence discrète des goélands ajoute du dynamisme à la composition épurée. Cette pièce explore la temporalité et l’éphémère dans la nature.

Tout l’univers du bleu dans une collection d’œuvres uniques.

Cette sélection d’œuvres rend hommage à toutes les nuances de bleu, chaque pièce étant une célébration de son caractère singulier. Ces créations toutes de « bleu » vétues attendent leur place sur vos murs pour s’épanouir et dialoguer avec votre sensibilité.

Parcourez notre collection et laissez-vous guider par votre regard pour trouver l’œuvre qui résonnera avec votre imaginaire et capturera l’essence du bleu. Comment cette pièce transformera-t-elle votre intérieur et y insufflera-t-elle sa nuance subtile ? C’est à vous de le découvrir en explorant notre collection sur Maiiart.com.


Les catégories d’œuvres d’art

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