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Œuvres

Achetez des œuvres uniques, créées par nos artistes, propulsées à l’intelligence artificielle, inspirées par les plus grands artistes de tous les temps.



  • Joy
    Dès 49,00

    « Joy » représente une femme lisant sur un canapé rouge face à une vue panoramique sur Central Park, tandis qu’une silhouette masculine se détache au fond. L’œuvre combine la tradition des intérieurs intimistes avec l’hyperréalisme américain, utilisant le motif du tableau dans le tableau.

  • Le hublot
    Dès 49,00

    Le tirage « Le hublot » de Martin Greet est une photographie Fine Art qui utilise un cadrage dans le cadre biomorphique. L’œuvre confronte l’intérieur inspiré du trencadís de Gaudí et du Surréalisme avec l’extérieur, dominé par le Cervin, une référence au Sublime Romantique de Caspar David Friedrich. Les figures de mère et fille, traitées en Rückenfiguren,…

  • La table
    Dès 49,00

    « La table » de Peer Nuit s’inscrit dans la tradition de Hopper par son dispositif scénographique : un personnage solitaire dans un café, le visage dissimulé sous un chapeau, replié sur une table face à une fenêtre lumineuse inaccessible. Le traitement pictural évoque l’expressionnisme de Munch par sa matière épaisse et sa charge émotionnelle,…

  • New York Blues
    Dès 49,00

    Dans « New York Blues », Karla Fidho construit une peinture de Manhattan fondée sur une perspective centrale marquée, des volumes architecturaux étirés, une rue presque vide et un dessin linéaire affirmé. L’œuvre se distingue par sa frontalité, son traitement structurel de la ville et l’usage de motifs urbains simplifiés.

  • La liseuse
    Dès 49,00

    « La liseuse » de Willa Megston met en scène une figure dont le visage est remplacé par un livre ouvert reproduisant la Joconde, créant une tension entre identité masquée, citation artistique et dispositif conceptuel. Le décor néo-renaissant souligne ce jeu d’appropriation et d’illusion visuelle.

  • Chemin de vie
    Dès 49,00

    « Chemin de vie » présente une vue aérienne où une route verticale traverse une forêt dense, accompagnée d’un petit véhicule servant d’échelle. Les percées lumineuses, la brume et la composition centrée créent une lecture mêlant trajectoire humaine, symbolique du passage et références au romantisme, au luminisme et à la photographie contemporaine.

  • Garçon, Tibet
    Dès 49,00

    « Garçon, Tibet » présente un portrait rapproché d’un jeune garçon tibétain, où bonnet tricoté, pull texturé, poussières sur la peau et fossettes deviennent des indices visuels essentiels. Le regard direct, la frontalité du cadrage et la netteté ciblée sur les yeux confèrent à l’image une singularité documentaire.

  • Le jardin secret
    Dès 49,00

    « Le jardin secret » de Karla Fidho représente une femme de dos face à une porte, dans un espace tropical stylisé. L’artiste explore la notion de seuil et de transition, mêlant simplification formelle, frontalité et symbolisme décoratif inspiré du fauvisme et de la peinture moderne.

  • Femme glitch
    Dès 49,00

    «Femme glitch» de Donna Glisco montre un visage juvénile et androgyne en gros plan, frontal et presque intégral. Le portrait est fragmenté par des blocs numériques, chaque moitié traitée différemment, combinant Pop Art, glitch art et influences Op Art. L’identité est déconstruite, transformée en données visuelles et erreurs perceptuelles.

  • L’arc-en-ciel cosmique
    Dès 49,00

    « L’arc-en-ciel cosmique » de Donna Glisco présente une forêt peuplée de symboles organiques et d’yeux anthropomorphes. L’œuvre mêle surréalisme graphique, psychédélisme et pop art, construisant un espace visuel dense où nature et conscience s’entrelacent, transformant le paysage en réflexion sur la perception et l’identité.

  • La course
    Dès 49,00

    « La course » de Rosine Chufisant est un dessin d’architecture futuriste structuré par une perspective rigoureuse et une composition axée sur la vitesse. L’œuvre mêle influences de Schuiten, Otomo et Ferriss, intégrant des formes monumentales, un espace sans présence humaine, et un véhicule servant de guide visuel dans une cité idéalisée.

  • Paysage arc-en-ciel
    Dès 49,00

    « Paysage arc-en-ciel » de Donna Glisco est une illustration psychédélique à encadrer mêlant géométrie optique et paysage symboliste. Des faisceaux lumineux structurent l’espace en perspective centrale, tandis que les formes végétales stylisées rappellent un imaginaire naïf. L’absence de figure humaine invite à une lecture introspective de la scène.

  • Tigre fauve dans jardin pop
    Dès 49,00

    « Tigre fauve dans jardin pop » représente un tigre immobile au centre d’un décor végétal stylisé, sans profondeur, inspiré de Matisse, Rousseau et Wiley. L’œuvre se distingue par sa frontalité, son traitement ornemental, sa bidimensionnalité et sa lecture symbolique de l’animal comme figure méditative et totem intérieur.

  • La foule rose
    Dès 49,00

    « La foule rose » de Donna Glisco montre une multitude de figures vues de dos, sans visages, différenciées par leurs vêtements. L’œuvre se distingue par sa frontalité, l’aplatissement de l’espace, la répétition des formes humaines et l’absence de hiérarchie visuelle, créant un motif collectif proche de l’abstraction.

  • La lune aux étourneaux
    Dès 49,00

    « La lune aux étourneaux » de Martin Greet montre une nuée d’oiseaux semblant s’échapper d’un croissant de lune, dans une composition centrée où le mouvement évoque une écriture en formation. L’œuvre joue sur la symbolique du passage et l’effacement des formes, dans une approche conceptuelle mêlant rigueur graphique et suggestion poétique.

  • La plage
    Dès 49,00

    « La plage » de Donna Glisco représente une scène balnéaire vue du ciel, où les corps humains deviennent anonymes et répétitifs. Le traitement pictural efface les visages, oppose mouvement et immobilité, et évoque une critique du tourisme de masse. La composition évoque la photographie documentaire contemporaine plus que la peinture classique.

  • Les deux lunes
    Dès 49,00

    « Les deux lunes » de Rosine Chufisant représente une ville futuriste verticale mêlant architecture modulaire, végétation intégrée et absence d’habitants. L’œuvre combine influences de la gravure architecturale, de la bande dessinée visionnaire et de la science-fiction, avec un style minutieux où chaque détail construit un monde dense, autonome et spéculatif.

  • La ville bleue
    Dès 49,00

    « La ville bleue » de Rosine Chufisant représente une cité futuriste vide d’habitants, structurée autour d’une perspective centrale rigoureuse, peuplée de véhicules automatisés. Son dessin technique précis, influencé par Moebius et Sant’Elia, mêle architecture spéculative, ligne claire et narration suspendue, soulignant une urbanité silencieuse et sans interaction humaine.

  • La persistance du temps
    Dès 49,00

    « La persistance du temps » de Peer Nuit revisite Dalí avec une scène désertique où montres molles, sablier renversé et miroir brisé coexistent. Une femme endormie sur un divan rococo incarne l’évasion mentale. L’œuvre mêle références baroques, symbolisme du temps et agencement surréaliste d’objets fixes dans un espace suspendu.

  • Le portail du temps
    Dès 49,00

    « Le portail du temps » de Rosine Chufisant est un dessin urbain futuriste structuré par une symétrie frontale rigide et un portail central lumineux. L’œuvre combine références à l’architecture utopique, au symbolisme graphique et au cyberpunk, sans présence humaine, évoquant un passage spirituel au sein d’une mégastructure technologique.

  • Bleu pop
    Dès 49,00

    « Bleu pop » de Willa Megston montre une femme dissimulant son visage derrière un magazine illustré, créant un effet de substitution entre le réel et l’image imprimée. La composition frontale et la mise en scène empruntent au pop art et interrogent la construction médiatique des identités féminines.

  • Rose pop
    Dès 49,00

    « Rose pop » de Willa Megston montre une femme tenant un livre dont la couverture remplace visuellement son visage par un dessin pop art. Ce dispositif crée un effet d’effacement de l’identité. L’œuvre interroge les constructions visuelles du féminin en mêlant photographie, citation graphique et mise en scène conceptuelle

  • La cité bleue
    Dès 49,00

    « La cité bleue » de Peer Nuit présente trois hommes en chapeaux de dos fixant une vue urbaine moderne par une fenêtre. Cette œuvre combine un rendu réaliste avec une atmosphère énigmatique et surréelle. Sa composition frontale et ses figures anonymes rappellent des influences comme Magritte et Hopper, créant une scène singulière.

  • Hot-dog sur fond vert
    Dès 49,00

    « Hot-dog sur fond vert » de Donna Glisco représente un hot-dog isolé sur fond uni, dans un style mêlant pop art et hyperréalisme. La frontalité, la mise en scène minimaliste et la suggestion sensuelle de la saucisse détournent l’objet banal en image iconique, entre critique du consumérisme et symbolique corporelle.

  • Première de couverture (orange)
    Dès 49,00

    « Première de couverture (orange) » de Jade Loupange montre une femme dont le visage se confond avec une couverture de magazine tenue devant elle, créant un trompe-l’œil. L’image interroge l’identité, la représentation médiatique et le glissement entre réalité et fiction par un cadrage frontal et une mise en scène figée.

  • Les guetteurs du vide
    Dès 49,00

    « Les guetteurs du vide » de Rosine Chufisant représente quatre amis contemplant un canyon urbain depuis une corniche d’immeuble. L’œuvre fusionne l’esthétique manga avec l’illustration architecturale européenne. Sa composition verticale, sa perspective en plongée et son train solitaire traversant des infrastructures monumentales créent une tension entre présence humaine et urbanisme déshumanisant inspiré de Otomo, Schuiten et…

  • Atop a skyscraper VI
    Dès 49,00

    « Atop a skyscraper VI » montre une femme en jupe au bord d’un gratte-ciel, figée entre équilibre et vertige. Le contraste entre sa posture tendue et l’architecture rigide interroge la place du corps féminin dans l’espace urbain. L’image mêle tension graphique, mise en scène et référence à la photographie de mode.

  • La vie en rouge
    Dès 49,00

    « La vie en rouge » de Donna Glisco montre une femme allongée versant du vin dans un verre tenu au-dessus d’elle, les yeux fermés. Le geste, à la fois intime et décalé, mêle insouciance et légèreté. Le titre joue sur l’expression « La vie en rose » avec une touche ironique.

  • Les vieux amis
    Dès 49,00

    « Les vieux amis » représente quatre hommes assis face à la mer, figés dans une posture silencieuse. L’absence d’interaction, les chapeaux posés au sol et le cadrage frontal évoquent un lien entre isolement et souvenir. L’influence de Magritte, Hopper et la peinture métaphysique souligne l’ambiguïté entre réalisme et onirisme.

  • Mer aux chapeaux colorés
    Dès 49,00

    « Mer aux chapeaux colorés » de Peer Nuit représente quatre figures immobiles, vues de dos, alignées face à la mer. Leur anonymat et l’absence d’interaction rappellent Magritte, Hopper et De Chirico. La composition rigoureuse, la lumière diffuse et l’atmosphère suspendue créent une tension entre réalisme et onirisme.

  • Les amants de New York
    Dès 49,00

    « Les amants de New York » représente un couple allongé sur un toit, surplombant une ville quadrillée et animée. La perspective plongeante crée un effet de vertige, renforçant la tension entre l’intimité des personnages et l’immensité urbaine. L’architecture monumentale structure l’image, évoquant Otomo et Schuiten.

  • La cité orange
    Dès 49,00

    « La cité orange » de Rosine Chufisant présente une ville futuriste structurée par une perspective centrale et des gratte-ciels élancés. Son style hybride mêle illustration architecturale et art numérique, avec des lignes précises rappelant les études de Sant’Elia et Ferriss. L’absence humaine et la monumentalité interrogent la relation entre urbanisme et isolement.

  • Les vases bleus
    Dès 49,00

    « Les vases bleus » de Peer Nuit présente un chat figé entre deux vases en porcelaine, intégrant un élément vivant à une nature morte rigoureuse. L’influence du japonisme et des natures mortes modernes se perçoit dans la frontalité de la composition, la stylisation des formes et la tension entre immobilité et présence animale.

  • La grande vague
    Dès 49,00

    « La grande vague » de Sara Diva-Parc présente une vague monumentale sous un cadrage vertical, soulignant sa dimension sculpturale et architecturale. L’absence d’horizon renforce son autonomie visuelle, tandis que l’opposition entre fluidité et densité inscrit l’œuvre entre pictorialisme et minimalisme. La lumière façonne textures et contrastes, accentuant l’impression de mouvement suspendu.

  • La cité rouge
    Dès 49,00

    « La cité rouge » de Rosine Chufisant présente une ville futuriste structurée par une architecture massive et géométrique. Un gratte-ciel arrondi domine la composition, son ouverture sombre suggérant une transition vers l’inconnu. L’absence de figures humaines et la perspective amplifiée renforcent une vision urbaine où technologie et monumentalité redéfinissent l’espace.

  • New York Retropolis
    Dès 49,00

    « New York Retropolis » représente une ville futuriste où gratte-ciels, ponts et structures suspendues s’entrelacent en un paysage dense. La statue de la Liberté et un Brooklyn Bridge réinventé ancrent la scène dans un imaginaire new-yorkais. Une femme en rouge, isolée sur un balcon, observe cette métropole verticale en perpétuelle mutation.


Les catégories d’œuvres d’art

Explorez les différentes thématiques et les diverses techniques artistiques utilisées dans les œuvres d’art de maiiart.