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« Joy » représente une femme lisant sur un canapé rouge face à une vue panoramique sur Central Park, tandis qu’une silhouette masculine se détache au fond. L’œuvre combine la tradition des intérieurs intimistes avec l’hyperréalisme américain, utilisant le motif du tableau dans le tableau.
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« La liseuse » de Willa Megston met en scène une figure dont le visage est remplacé par un livre ouvert reproduisant la Joconde, créant une tension entre identité masquée, citation artistique et dispositif conceptuel. Le décor néo-renaissant souligne ce jeu d’appropriation et d’illusion visuelle.
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« Chemin de vie » présente une vue aérienne où une route verticale traverse une forêt dense, accompagnée d’un petit véhicule servant d’échelle. Les percées lumineuses, la brume et la composition centrée créent une lecture mêlant trajectoire humaine, symbolique du passage et références au romantisme, au luminisme et à la photographie contemporaine.
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« Le jardin secret » de Karla Fidho représente une femme de dos face à une porte, dans un espace tropical stylisé. L’artiste explore la notion de seuil et de transition, mêlant simplification formelle, frontalité et symbolisme décoratif inspiré du fauvisme et de la peinture moderne.
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«Femme glitch» de Donna Glisco montre un visage juvénile et androgyne en gros plan, frontal et presque intégral. Le portrait est fragmenté par des blocs numériques, chaque moitié traitée différemment, combinant Pop Art, glitch art et influences Op Art. L’identité est déconstruite, transformée en données visuelles et erreurs perceptuelles.
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« L’arc-en-ciel cosmique » de Donna Glisco présente une forêt peuplée de symboles organiques et d’yeux anthropomorphes. L’œuvre mêle surréalisme graphique, psychédélisme et pop art, construisant un espace visuel dense où nature et conscience s’entrelacent, transformant le paysage en réflexion sur la perception et l’identité.
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« Paysage arc-en-ciel » de Donna Glisco est une illustration psychédélique à encadrer mêlant géométrie optique et paysage symboliste. Des faisceaux lumineux structurent l’espace en perspective centrale, tandis que les formes végétales stylisées rappellent un imaginaire naïf. L’absence de figure humaine invite à une lecture introspective de la scène.
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« Tigre fauve dans jardin pop » représente un tigre immobile au centre d’un décor végétal stylisé, sans profondeur, inspiré de Matisse, Rousseau et Wiley. L’œuvre se distingue par sa frontalité, son traitement ornemental, sa bidimensionnalité et sa lecture symbolique de l’animal comme figure méditative et totem intérieur.
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« La foule rose » de Donna Glisco montre une multitude de figures vues de dos, sans visages, différenciées par leurs vêtements. L’œuvre se distingue par sa frontalité, l’aplatissement de l’espace, la répétition des formes humaines et l’absence de hiérarchie visuelle, créant un motif collectif proche de l’abstraction.
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« La cité bleue » de Peer Nuit présente trois hommes en chapeaux de dos fixant une vue urbaine moderne par une fenêtre. Cette œuvre combine un rendu réaliste avec une atmosphère énigmatique et surréelle. Sa composition frontale et ses figures anonymes rappellent des influences comme Magritte et Hopper, créant une scène singulière.
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« Hot-dog sur fond vert » de Donna Glisco représente un hot-dog isolé sur fond uni, dans un style mêlant pop art et hyperréalisme. La frontalité, la mise en scène minimaliste et la suggestion sensuelle de la saucisse détournent l’objet banal en image iconique, entre critique du consumérisme et symbolique corporelle.
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« La vie en rouge » de Donna Glisco montre une femme allongée versant du vin dans un verre tenu au-dessus d’elle, les yeux fermés. Le geste, à la fois intime et décalé, mêle insouciance et légèreté. Le titre joue sur l’expression « La vie en rose » avec une touche ironique.
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« Mars City 2099 » de Rosine Chufisant représente une cité futuriste dense, structurée en modules empilés et reliés par des passerelles. L’urbanisme vertical et la perspective accentuée rappellent Syd Mead, tandis que la ligne précise évoque Moebius. L’ajout de végétation contraste avec l’architecture mécanisée, explorant l’équilibre entre technologie et nature.
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« Homme Pomme » de Peer Nuit représente un homme immobile en costume et chapeau melon, dont le visage est masqué par une pomme en lévitation. La composition symétrique et le contraste entre réalisme et incongruité rappellent Magritte. L’œuvre joue sur l’anonymat, la perception et la dissimulation à travers un motif symbolique.
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« New Tokyo 2099 » de Rosine Chufisant représente un pilote solitaire survolant une ville futuriste, dense et verticalisée, où la précision des lignes souligne une perspective vertigineuse. L’œuvre, influencée par la science-fiction européenne et japonaise, explore le lien entre l’individu et une urbanisation massive, mêlant minimalisme technologique et monumentalité architecturale.
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Dans « Soleil du matin rouge » de Peer Nuit, la scène revisite « Soleil du matin » d’Edward Hopper en transposant une figure féminine dans un espace urbain épuré. La fenêtre devient un cadre symbolique, amplifiant l’isolement et la contemplation. L’œuvre explore l’ambivalence moderne entre intériorité et urbanité, mêlant minimalisme et tension narrative.
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« Femme endormie aux fleurs » de Leo Delorni représente une jeune femme allongée dans un environnement floral, où son corps et les motifs se mêlent harmonieusement. Inspirée des préraphaélites, de Klimt et de Monet, l’œuvre se distingue par l’intégration des motifs naturels, la lumière diffuse et une continuité entre figure et décor.
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Dans « La maison blanche aux arbres bleus », Diane Darren compose un paysage impressionniste contemporain mêlant dynamisme du ciel tourbillonnant à des arbres aux formes légèrement abstraites. La petite maison blanche, discrète mais centrale, contraste avec la nervosité du ciel, évoquant l’intensité dramatique des œuvres tardives de Van Gogh.
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« Mon beau sapin » de Willa Megston présente une voiture vintage transportant un sapin décoré dans un paysage hivernal. La composition, marquée par une profondeur de champ maîtrisée, fait ressortir la solitude du décor, tandis que la lumière subtile et l’atmosphère brumeuse créent une tension entre le mouvement et l’immobilité.
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« L’aquarium bleu » de Diane Darren propose une scène onirique où des poissons et des fleurs flottent sans gravité dans un espace indéfini. La technique mixte d’huile et de collage crée une texture palpable, tandis que la composition, inspirée de Klee et Chagall, mêle densité et légèreté, évoquant un univers méditatif et surréaliste.
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L’œuvre « Chemin provençal » d’Elke Palu présente un paysage estival à la limite de l’abstraction. Elle se distingue par son traitement du concept japonais « ma », matérialisé par un chemin central. L’artiste emploie des empâtements et une simplification des formes, fusionnant influences impressionnistes et post-impressionnistes avec une interprétation contemporaine du paysage provençal.
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« La vague et le goéland » de Sara Diva-Parc présente une vague s’écrasant sur des rochers sous un ciel orageux. La composition utilise la règle des tiers, avec un goéland comme point focal. La vitesse d’obturation rapide capte le mouvement de l’eau, créant une tension entre mouvement et immobilité.
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« Le voile » de Peer Nuit présente une figure féminine voilée, vêtue d’une robe ornée de fleurs, posant sa main sur un tissu décoré. La technique rappelle Léonard de Vinci et Ingres, avec une attention aux détails et à la lumière. L’œuvre explore la dualité entre révélation et dissimulation.
« Moi et mon chien II » de Ken Mikaige juxtapose une jeune ballerine et un Saint-Bernard massif. La composition évoque les portraits de Sargent, tandis que l’humour rappelle Erwitt. Le contraste entre la grâce de l’enfant et l’imposante présence du chien crée une tension visuelle. L’œuvre mêle élégance classique et surréalisme doux, suggérant une relation unique…
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« La côte, près d’Antibes » de Peer Nuit est une marine de style néo-impressionniste représentant une colline côtière avec deux arbres inclinés par le vent, un chemin sinueux et des fleurs sauvages. L’influence de Van Gogh, Monet et Renoir est notable.
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« Femme aux papillons » de Jade Loupange présente une femme en robe rouge, entourée de papillons et couronnée de fleurs, dans un environnement naturel. L’œuvre combine réalisme détaillé et éléments surréalistes, rappelant les styles de Rossetti, Waterhouse et Kahlo, et explore l’harmonie humain-nature et les thèmes de transformation.
« La mer près de Collioure » par Peer Nuit est une peinture post-impressionniste influencée par Matisse, Derain et Cézanne. Elle dépeint une scène côtière tranquille avec des pins majestueux sur un rivage escarpé, utilisant une touche picturale expressive et une composition structurée pour créer une harmonie visuelle et une méditation sur la nature.
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« Le lotus rose » de Diane Darren est une œuvre florale qui allie tradition et modernité. Elle dépeint une fleur de lotus en gros plan, avec un style qui rappelle l’impressionnisme mais avec une touche contemporaine. La technique de Darren, caractérisée par des coups de pinceau fluides, donne vie à la texture des pétales.
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« Couleur New York » de Rosine Chufisant est une illustration unique de New York. Le style pictural évoque les scènes urbaines de Fernand Léger avec une approche plus légère. La composition dense et équilibrée reflète la complexité de la vie urbaine. L’œuvre est influencée par Fernand Léger et François Schuiten.
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L’œuvre de Peer Nuit, « R2-D2 dans la forêt de Corot », mêle nature et technologie en plaçant R2-D2 dans un paysage forestier romantique. Le style rappelle Corot et Friedrich, avec une touche moderne de science-fiction. Cette fusion invite à réfléchir sur la coexistence de l’humanité et de la technologie.
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« Paysage de montagne, Chine » de Chang Baoshi est une représentation nocturne avec une lune pleine et des oiseaux en vol. Le style est influencé par les peintures traditionnelles asiatiques, notamment celles de Hokusai et Zhang Daqian. L’œuvre suggère une tranquillité intérieure accessible par la contemplation de la nature.
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« Oh la vache » de Peer Nuit est un portrait stylisé d’une vache, avec des motifs circulaires complexes. L’œuvre évoque « La Vache qui rit », un repère culturel et émotionnel. Le style pictural s’inspire de Yayoi Kusama, Roy Lichtenstein et Andy Warhol.
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« Le chant de la mer » de Rosine Chufisant est une aquarelle et encre représentant une femme en fusion avec la nature. Son style rappelle Hayao Miyazaki avec des formes douces et une attention aux détails naturels.
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« Ville colorée » de Rosine Chufisant est une peinture en feutre et encre représentant une ville imaginaire. Sa composition symétrique et son style naïf évoquent un sentiment de joie et d’harmonie. L’inspiration de Schuiten et Léger se retrouve dans la précision architecturale et l’utilisation de formes géométriques. L’absence de personnages humains et l’atmosphère paisible invitent à…
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« La jeune fille et la mer » de Rosine Chufisant est une œuvre réalisée en aquarelle et encre, représentant une scène onirique aquatique. L’œuvre présente des influences de Hayao Miyazaki et Hokusai, et s’inspire des légendes japonaises sur les esprits de l’eau.
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« Moi et mon chien I » de Ken Mikaige est une photographie d’art mettant en scène un enfant et un caniche noir. La composition symétrique souligne leur complicité. L’anonymat de l’enfant et la présence du caniche évoquent les liens indissolubles de l’enfance. L’œuvre s’inspire des styles de Wes Anderson et Elliott Erwitt.
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Explorez les différentes thématiques et les diverses techniques artistiques utilisées dans les œuvres d’art de maiiart.