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La peinture de New York a toujours été un sujet d’inspiration pour de nombreux artistes, capturant l’essence de cette ville dynamique à travers leurs œuvres. Des artistes tels que Edward Hopper, avec son célèbre tableau « Nighthawks », ont su saisir l’atmosphère nocturne et solitaire de la ville. De même, la photographie artistique de New York a également joué un rôle important dans la représentation de cette métropole. Des photographes tels que Berenice Abbott, avec sa série « Changing New York », ont documenté les transformations urbaines de la ville au cours du XXe siècle. Le thème de New York inspire les artistes depuis des décennies en raison de son statut de centre culturel et économique, ainsi que de son architecture emblématique et de sa diversité culturelle. La peinture, la photographie et l’art en général offrent un moyen de capturer et de transmettre l’énergie et l’ambiance unique de cette ville en constante évolution. Vous trouverez sur cette page des exemples de tableaux, dessins et photographies d’art sur le thème ‘New York’.
Les œuvres sur le thème ‘New York’ vous inspirent? Nos IArtistes aussi! Laissez-vous inspirer par les peintures, photographies, art digital ou dessins en vente dans notre galerie d’art.
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“Atop a skyscraper” de Jade Loupange dépeint une femme sur le bord d’un immeuble à New York, évoquant une atmosphère mystérieuse et mélancolique. Le style rappelle les photographies d’Annie Leibovitz et Diane Arbus, avec une référence à « Lunch atop a skyscraper ». Elle explore l’isolement dans un environnement urbain.
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Cette photographie de Jade Loupange dépeint une femme perchée sur un gratte-ciel new-yorkais, défiant les lois de la pesanteur. L’audacieuse verticalité et l’arrière-plan monumental créent une tension frappante entre fragilité humaine et grandeur urbaine. Inspirée par des maîtres provocateurs, l’œuvre singulière aborde subtilement solitude et transgression.
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La photographie « Atop a skyscraper IV » de Jade Loupange montre une femme en robe sur le rebord d’un gratte-ciel. L’œuvre se distingue par son cadrage en contre-plongée, l’asymétrie du gant unique, et le contraste entre la netteté du sujet et le flou urbain. Elle évoque l’aliénation urbaine et questionne les stéréotypes de genre.
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« Empire Slate, New York » d’Elias Luter fragmente la ville en bandes verticales alternant opacité et transparence. Cette déconstruction évoque les strates temporelles de New York, mêlant la rigueur de Sheeler aux recompositions urbaines de Couturier, tandis que l’atmosphère brumeuse rappelle les vues modernistes de Stieglitz sur l’architecture urbaine.
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« Empreinte carbone » d’Elias Luter utilise la double exposition pour fusionner un visage sculpté dans la roche avec la skyline de New York. Cette œuvre explore la relation entre nature et urbanisation, évoquant les photomontages surréalistes et la nouvelle topographie. La composition verticale et la juxtaposition des textures créent une réflexion sur l’anthropocène et l’impact humain…
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« Joy » représente une femme lisant sur un canapé rouge face à une vue panoramique sur Central Park, tandis qu’une silhouette masculine se détache au fond. L’œuvre combine la tradition des intérieurs intimistes avec l’hyperréalisme américain, utilisant le motif du tableau dans le tableau.
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« La cité bleue » de Peer Nuit présente trois hommes en chapeaux de dos fixant une vue urbaine moderne par une fenêtre. Cette œuvre combine un rendu réaliste avec une atmosphère énigmatique et surréelle. Sa composition frontale et ses figures anonymes rappellent des influences comme Magritte et Hopper, créant une scène singulière.
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« La nuit à New York » de Rosine Chufisant présente des façades d’immeubles multicolores capturées de manière frontale et réaliste. Inspirée par la photographie urbaine, l’artiste adopte une approche symétrique rappelant les travaux de Gursky et de Michael Wolf.
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« Le parapluie bleu » de Karla Fidho présente une figure solitaire avec un parapluie contrastant dans une scène urbaine hivernale. Utilisant un sfumato prononcé et des glacis pour créer une brume éthérée, l’œuvre évoque l’isolement urbain et joue sur la perception visuelle, rappelant les influences de Gerhard Richter, Edward Hopper et Claude Monet.
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« Les amants de New York » représente un couple allongé sur un toit, surplombant une ville quadrillée et animée. La perspective plongeante crée un effet de vertige, renforçant la tension entre l’intimité des personnages et l’immensité urbaine. L’architecture monumentale structure l’image, évoquant Otomo et Schuiten.
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« New Tokyo 2099 » de Rosine Chufisant représente un pilote solitaire survolant une ville futuriste, dense et verticalisée, où la précision des lignes souligne une perspective vertigineuse. L’œuvre, influencée par la science-fiction européenne et japonaise, explore le lien entre l’individu et une urbanisation massive, mêlant minimalisme technologique et monumentalité architecturale.
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« New York 2099 » de Rosine Chufisant représente une mégalopole futuriste aux structures denses et verticales, intégrant jardins suspendus et plateformes flottantes. Inspirée de Moebius, Mead et Piranesi, l’œuvre juxtapose architecture modulaire et perspectives illusionnistes, évoquant une urbanisation infinie entre utopie technologique et fragmentation spatiale.
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Dans « New York Blues », Karla Fidho construit une peinture de Manhattan fondée sur une perspective centrale marquée, des volumes architecturaux étirés, une rue presque vide et un dessin linéaire affirmé. L’œuvre se distingue par sa frontalité, son traitement structurel de la ville et l’usage de motifs urbains simplifiés.
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« New York matin clair » de Karla Fidho explore l’interaction entre la monumentalité des gratte-ciels et une lumière étudiée avec précision. Inspirée par Monet, l’œuvre capte la fugacité atmosphérique tout en s’inscrivant dans une démarche post-impressionniste structurée. La tension entre rigidité architecturale et fluidité lumineuse confère une profondeur contemplative à cette scène urbaine.
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Le photomontage « Nocturne urbain » d’Elias Luter fusionne des éléments architecturaux de diverses métropoles, créant une hyper-réalité urbaine. La technique de superposition évoque un palimpseste urbain. L’absence de figures humaines et la manipulation de la perspective génèrent une tension entre claustrophobie et vertige, reflétant l’expérience urbaine contemporaine. L’œuvre s’inscrit dans le néo-pictorialisme numérique.
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« NY » met en scène une avenue cadrée par des gratte-ciels en aplats nets, structurés par une perspective centrale qui guide le regard vers l’Empire State Building. L’usage de formes répétées, d’ombres dures et d’un traitement graphique inspiré de Warhol, Hockney et Thiebaud confère à l’ensemble une identité singulière.
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« Perspective urbaine » de Rosine Chufisant utilise une perspective linéaire pour représenter une avenue bordée de gratte-ciels. Les traits fins et précis, influencés par Moebius, Schuiten et Piranesi, soulignent la complexité architecturale et la densité urbaine.
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« Skyline I » est une photographie d’art de Elias Luter, inspirée par Mikko Lagerstedt et Frieke Janssens. La ville est mise en valeur avec une réflexion dans l’eau et des nuages nocturnes, créant une atmosphère unique.
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Dans « Soleil du matin rouge » de Peer Nuit, la scène revisite « Soleil du matin » d’Edward Hopper en transposant une figure féminine dans un espace urbain épuré. La fenêtre devient un cadre symbolique, amplifiant l’isolement et la contemplation. L’œuvre explore l’ambivalence moderne entre intériorité et urbanité, mêlant minimalisme et tension narrative.
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Willa Megston présente « Superkid », une composition photographique. Un jeune garçon en costume de super-héros semble voler au-dessus d’une ville au coucher du soleil. Le photomontage réaliste interpelle par son sujet : un enfant défiant la gravité. L’inspiration Pop Art est visible dans la composition et le choix du sujet.
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« Une girafe à New York » de Martin Greet est une photographie surréaliste. Elle représente une girafe émergeant d’un trou au milieu d’une rue animée de New York. L’œuvre s’inspire de Frans Lanting, Salvador Dalí et Tim Flach. Le cadrage serré sur la girafe accentue l’effet de surprise. L’œuvre questionne la place de l’animal dans la…
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