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Œuvres

Achetez des œuvres uniques, créées par nos artistes, propulsées à l’intelligence artificielle, inspirées par les plus grands artistes de tous les temps.



  • New York Blues
    Dès 49,00

    Dans « New York Blues », Karla Fidho construit une peinture de Manhattan fondée sur une perspective centrale marquée, des volumes architecturaux étirés, une rue presque vide et un dessin linéaire affirmé. L’œuvre se distingue par sa frontalité, son traitement structurel de la ville et l’usage de motifs urbains simplifiés.

  • Chemin de vie
    Dès 49,00

    « Chemin de vie » présente une vue aérienne où une route verticale traverse une forêt dense, accompagnée d’un petit véhicule servant d’échelle. Les percées lumineuses, la brume et la composition centrée créent une lecture mêlant trajectoire humaine, symbolique du passage et références au romantisme, au luminisme et à la photographie contemporaine.

  • Garçon, Tibet
    Dès 49,00

    « Garçon, Tibet » présente un portrait rapproché d’un jeune garçon tibétain, où bonnet tricoté, pull texturé, poussières sur la peau et fossettes deviennent des indices visuels essentiels. Le regard direct, la frontalité du cadrage et la netteté ciblée sur les yeux confèrent à l’image une singularité documentaire.

  • Femme glitch
    Dès 49,00

    «Femme glitch» de Donna Glisco montre un visage juvénile et androgyne en gros plan, frontal et presque intégral. Le portrait est fragmenté par des blocs numériques, chaque moitié traitée différemment, combinant Pop Art, glitch art et influences Op Art. L’identité est déconstruite, transformée en données visuelles et erreurs perceptuelles.

  • La course
    Dès 49,00

    « La course » de Rosine Chufisant est un dessin d’architecture futuriste structuré par une perspective rigoureuse et une composition axée sur la vitesse. L’œuvre mêle influences de Schuiten, Otomo et Ferriss, intégrant des formes monumentales, un espace sans présence humaine, et un véhicule servant de guide visuel dans une cité idéalisée.

  • Paysage coloré au soleil rose
    Dès 49,00

    « Paysage coloré au soleil rose » d’Elke Palu présente une composition structurée par des formes géométriques et organiques mêlées, dans une logique décorative inspirée de l’art déco et du post-impressionnisme. L’œuvre se distingue par l’absence de perspective, le traitement graphique des éléments naturels et l’équilibre entre abstraction et figuration.

  • Tigre fauve dans jardin pop
    Dès 49,00

    « Tigre fauve dans jardin pop » représente un tigre immobile au centre d’un décor végétal stylisé, sans profondeur, inspiré de Matisse, Rousseau et Wiley. L’œuvre se distingue par sa frontalité, son traitement ornemental, sa bidimensionnalité et sa lecture symbolique de l’animal comme figure méditative et totem intérieur.

  • La lune aux étourneaux
    Dès 49,00

    « La lune aux étourneaux » de Martin Greet montre une nuée d’oiseaux semblant s’échapper d’un croissant de lune, dans une composition centrée où le mouvement évoque une écriture en formation. L’œuvre joue sur la symbolique du passage et l’effacement des formes, dans une approche conceptuelle mêlant rigueur graphique et suggestion poétique.

  • La sentinelle
    Dès 49,00

    « La sentinelle » de Leo Delorni montre une figure féminine robotisée en profil hiératique, isolée dans un espace vide. Son armure épurée, l’aile stylisée sur le heaume et son visage neutre créent une fusion entre sacré et technologie, évoquant un être liminaire entre mythe ancien et univers dystopique.

  • La ville bleue
    Dès 49,00

    « La ville bleue » de Rosine Chufisant représente une cité futuriste vide d’habitants, structurée autour d’une perspective centrale rigoureuse, peuplée de véhicules automatisés. Son dessin technique précis, influencé par Moebius et Sant’Elia, mêle architecture spéculative, ligne claire et narration suspendue, soulignant une urbanité silencieuse et sans interaction humaine.

  • Feuilles d’automne mauves et roses
    Dès 49,00

    « Feuilles d’automne mauves et roses » de Diane Darren présente des branches fines et des feuilles stylisées sur fond neutre, sans ancrage spatial. L’œuvre mêle précision du trait et diffusion fluide de l’aquarelle. Elle se distingue par son économie formelle, son vide actif et son inspiration du wabi-sabi japonais.

  • Le portail du temps
    Dès 49,00

    « Le portail du temps » de Rosine Chufisant est un dessin urbain futuriste structuré par une symétrie frontale rigide et un portail central lumineux. L’œuvre combine références à l’architecture utopique, au symbolisme graphique et au cyberpunk, sans présence humaine, évoquant un passage spirituel au sein d’une mégastructure technologique.

  • Hot-dog sur fond vert
    Dès 49,00

    « Hot-dog sur fond vert » de Donna Glisco représente un hot-dog isolé sur fond uni, dans un style mêlant pop art et hyperréalisme. La frontalité, la mise en scène minimaliste et la suggestion sensuelle de la saucisse détournent l’objet banal en image iconique, entre critique du consumérisme et symbolique corporelle.

  • Première de couverture (orange)
    Dès 49,00

    « Première de couverture (orange) » de Jade Loupange montre une femme dont le visage se confond avec une couverture de magazine tenue devant elle, créant un trompe-l’œil. L’image interroge l’identité, la représentation médiatique et le glissement entre réalité et fiction par un cadrage frontal et une mise en scène figée.

  • Les guetteurs du vide
    Dès 49,00

    « Les guetteurs du vide » de Rosine Chufisant représente quatre amis contemplant un canyon urbain depuis une corniche d’immeuble. L’œuvre fusionne l’esthétique manga avec l’illustration architecturale européenne. Sa composition verticale, sa perspective en plongée et son train solitaire traversant des infrastructures monumentales créent une tension entre présence humaine et urbanisme déshumanisant inspiré de Otomo, Schuiten et…

  • Atop a skyscraper VI
    Dès 49,00

    « Atop a skyscraper VI » montre une femme en jupe au bord d’un gratte-ciel, figée entre équilibre et vertige. Le contraste entre sa posture tendue et l’architecture rigide interroge la place du corps féminin dans l’espace urbain. L’image mêle tension graphique, mise en scène et référence à la photographie de mode.

  • La vie en rouge
    Dès 49,00

    « La vie en rouge » de Donna Glisco montre une femme allongée versant du vin dans un verre tenu au-dessus d’elle, les yeux fermés. Le geste, à la fois intime et décalé, mêle insouciance et légèreté. Le titre joue sur l’expression « La vie en rose » avec une touche ironique.

  • Les amants de New York
    Dès 49,00

    « Les amants de New York » représente un couple allongé sur un toit, surplombant une ville quadrillée et animée. La perspective plongeante crée un effet de vertige, renforçant la tension entre l’intimité des personnages et l’immensité urbaine. L’architecture monumentale structure l’image, évoquant Otomo et Schuiten.

  • La cité orange
    Dès 49,00

    « La cité orange » de Rosine Chufisant présente une ville futuriste structurée par une perspective centrale et des gratte-ciels élancés. Son style hybride mêle illustration architecturale et art numérique, avec des lignes précises rappelant les études de Sant’Elia et Ferriss. L’absence humaine et la monumentalité interrogent la relation entre urbanisme et isolement.

  • Les vases bleus
    Dès 49,00

    « Les vases bleus » de Peer Nuit présente un chat figé entre deux vases en porcelaine, intégrant un élément vivant à une nature morte rigoureuse. L’influence du japonisme et des natures mortes modernes se perçoit dans la frontalité de la composition, la stylisation des formes et la tension entre immobilité et présence animale.

  • La grande vague
    Dès 49,00

    « La grande vague » de Sara Diva-Parc présente une vague monumentale sous un cadrage vertical, soulignant sa dimension sculpturale et architecturale. L’absence d’horizon renforce son autonomie visuelle, tandis que l’opposition entre fluidité et densité inscrit l’œuvre entre pictorialisme et minimalisme. La lumière façonne textures et contrastes, accentuant l’impression de mouvement suspendu.

  • La cité rouge
    Dès 49,00

    « La cité rouge » de Rosine Chufisant présente une ville futuriste structurée par une architecture massive et géométrique. Un gratte-ciel arrondi domine la composition, son ouverture sombre suggérant une transition vers l’inconnu. L’absence de figures humaines et la perspective amplifiée renforcent une vision urbaine où technologie et monumentalité redéfinissent l’espace.

  • New York Retropolis
    Dès 49,00

    « New York Retropolis » représente une ville futuriste où gratte-ciels, ponts et structures suspendues s’entrelacent en un paysage dense. La statue de la Liberté et un Brooklyn Bridge réinventé ancrent la scène dans un imaginaire new-yorkais. Une femme en rouge, isolée sur un balcon, observe cette métropole verticale en perpétuelle mutation.

  • Zèbre pop
    Dès 49,00

    « Zèbre pop » d’Elke Palu présente un réseau de lignes sinueuses créant une instabilité optique proche de l’Op Art. Inspirée par Bridget Riley, Keith Haring et Victor Vasarely, l’œuvre joue sur le mouvement, la répétition et l’absence de hiérarchie, mêlant abstraction, graphisme et une approche systématique de la composition.

  • Mars city 2099
    Dès 49,00

    « Mars City 2099 » de Rosine Chufisant représente une cité futuriste dense, structurée en modules empilés et reliés par des passerelles. L’urbanisme vertical et la perspective accentuée rappellent Syd Mead, tandis que la ligne précise évoque Moebius. L’ajout de végétation contraste avec l’architecture mécanisée, explorant l’équilibre entre technologie et nature.

  • Empire slate, New York
    Dès 49,00

    « Empire Slate, New York » d’Elias Luter fragmente la ville en bandes verticales alternant opacité et transparence. Cette déconstruction évoque les strates temporelles de New York, mêlant la rigueur de Sheeler aux recompositions urbaines de Couturier, tandis que l’atmosphère brumeuse rappelle les vues modernistes de Stieglitz sur l’architecture urbaine.

  • La ville rose
    Dès 49,00

    « La ville rose » de Rosine Chufisant représente une cité futuriste structurée par une perspective centrale et des architectures modulaires inspirées de Moebius, Syd Mead et Hugh Ferriss. L’absence de végétation et d’habitants, combinée à des vaisseaux flottants, interroge la relation entre urbanisme technologique, mobilité aérienne et standardisation des espaces habités.

  • Arbres en hiver II
    Dès 49,00

    « Arbres en hiver II » de Diane Darren représente une colline sombre surmontée d’arbres nus, aux branches entrelacées, contrastant avec un ciel uniforme. Une route sinueuse guide le regard vers un horizon masqué. L’opposition entre formes pleines et lignes épurées crée une tension entre fixité et mouvement, ancrage et élévation.

  • Homme Pomme
    Dès 49,00

    « Homme Pomme » de Peer Nuit représente un homme immobile en costume et chapeau melon, dont le visage est masqué par une pomme en lévitation. La composition symétrique et le contraste entre réalisme et incongruité rappellent Magritte. L’œuvre joue sur l’anonymat, la perception et la dissimulation à travers un motif symbolique.

  • Banana Pop
    Dès 49,00

    « Banana Pop » de Martin Greet représente une banane incurvée sur un fond neutre, avec une surface lisse et des reflets brillants qui rappellent le pop art et l’hyperréalisme. Son aspect sculptural, l’absence de contexte et la tension entre idéalisation et décomposition en font un objet ambigu, entre marchandise et symbole.

  • New Tokyo 2099
    Dès 49,00

    « New Tokyo 2099 » de Rosine Chufisant représente un pilote solitaire survolant une ville futuriste, dense et verticalisée, où la précision des lignes souligne une perspective vertigineuse. L’œuvre, influencée par la science-fiction européenne et japonaise, explore le lien entre l’individu et une urbanisation massive, mêlant minimalisme technologique et monumentalité architecturale.

  • Quadrature du cercle
    Dès 49,00

    « Quadrature du cercle » d’Elke Palu se distingue par un cercle légèrement décalé du centre, occupant un quart de la surface et structurant la composition. Ce point focal crée une tension avec les formes rectilignes environnantes. La texture granuleuse et les superpositions ajoutent une profondeur visuelle, renforçant l’interaction entre centralité et asymétrie.

  • New York matin clair
    Dès 49,00

    « New York matin clair » de Karla Fidho explore l’interaction entre la monumentalité des gratte-ciels et une lumière étudiée avec précision. Inspirée par Monet, l’œuvre capte la fugacité atmosphérique tout en s’inscrivant dans une démarche post-impressionniste structurée. La tension entre rigidité architecturale et fluidité lumineuse confère une profondeur contemplative à cette scène urbaine.

  • Est-ce ainsi que les hommes vivent?
    Dès 49,00

    « Est-ce ainsi que les hommes vivent? » de Chang Baoshi représente un chimpanzé, main sur le visage, dans un geste évoquant l’exaspération humaine. Alliant réalisme détaillé et clair-obscur, l’œuvre invite à une double lecture : une scène humoristique ou une réflexion profonde sur les similitudes entre l’homme et l’animal.

  • Chat lové
    Dès 49,00

    « Chat lové » de Rosine Chufisant dépeint l’intimité d’une femme endormie contre un chat noir, dans un style inspiré de l’ukiyo-e et des cadrages impressionnistes. Les détails floraux et la texture subtile évoquent une ambiance onirique, tandis que le chat, élément central, symbolise une quiétude partagée dans une composition harmonieuse.

  • Femme bleu et rose
    Dès 49,00

    « Femme bleu et rose » de Rosine Chufisant est un portrait en profil mêlant aplats simplifiés et textures sculpturales. La coiffure sphérique contraste avec le fond dégradé, tandis que l’œuvre explore une tension entre abstraction et figuration. Elle s’inscrit dans une tradition néo-pop, évoquant des thèmes identitaires et des références aux codes artistiques modernes.


Les catégories d’œuvres d’art

Explorez les différentes thématiques et les diverses techniques artistiques utilisées dans les œuvres d’art de maiiart.