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d’encadrement
Caisse américaine, Bois blanc 15 mm
Caisse américaine, Bois clair 15 mm
Caisse américaine, Bois brun 15 mm
Caisse américaine, Bois noir 15 mm
« La cité orange » de Rosine Chufisant présente une ville futuriste structurée par une perspective centrale et des gratte-ciels élancés. Son style hybride mêle illustration architecturale et art numérique, avec des lignes précises rappelant les études de Sant’Elia et Ferriss. L’absence humaine et la monumentalité interrogent la relation entre urbanisme et isolement.
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« La cité orange » de Rosine Chufisant s’inscrit dans une tradition où l’architecture spéculative devient un langage plastique à part entière. La perspective centrale, rigoureusement construite, rappelle les études urbaines d’Antonio Sant’Elia, où la verticalité exprime une vision de la cité comme organisme technologique en perpétuelle mutation. Les volumes, segmentés par des lignes nettes et des contours d’une grande précision, s’apparentent aux explorations de Hugh Ferriss sur la monumentalité des gratte-ciels, où la lumière façonne l’espace et en exalte les proportions. La palette chromatique, dominée par des teintes de feu et des contrastes sombres, convoque une atmosphère rétrofuturiste qui dialogue avec l’héritage graphique de Moebius. L’orchestration des couleurs, jouant sur la complémentarité de l’orange et du violet, inscrit la composition dans une dynamique chromatique où l’intensité lumineuse semble se dilater. La frontalité du plan urbain, à la fois rigide et flottant, évoque ces cités imaginaires où la monumentalité défie toute échelle humaine, un principe que l’on retrouve dans le futurisme architectural du début du XXe siècle. La mise en abyme du chemin central, qui s’enfonce vers un point de fuite magnétique, guide le regard dans une lecture stratifiée de l’espace, accentuant l’idée d’un environnement à la fois clos et infini. Loin d’un réalisme descriptif, l’œuvre développe une narration visuelle où la ville devient une entité abstraite, soumise aux tensions entre construction et lumière. Le traitement linéaire des façades, épuré et graphique, renvoie aux codes du dessin technique, tout en s’affranchissant des contraintes fonctionnelles pour proposer une vision plus onirique de l’urbanisme. L’arrière-plan, structuré par un disque solaire d’une intensité inhabituelle, agit comme un contrepoint à la rigueur géométrique des bâtiments, rappelant les compositions où l’astre, chez De Chirico, fonctionne comme un élément de mise en suspension du réel. L’absence de figures humaines accentue le sentiment d’une cité autonome, dont l’existence semble dictée par ses propres lois plastiques et structurelles. Entre utopie et dystopie, l’image explore la dualité d’une architecture envisagée comme un langage à la fois visionnaire et oppressant, où la perspective s’érige en principe d’organisation du monde
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Impression sur papier Canson reproduisant avec fidélité texture et relief des œuvres telles que peintures et dessins. À encadrer soi-même.
Impression sur toile coton avec trame apparente qui évoque le caractère classique des tableaux peints tout en respectant couleurs et détails.
La caisse américaine est un encadrement premium qui met en valeur les œuvres d’art, en créant l’illusion qu’elles “flottent” dans leur cadre en bois.
« Abbey Road » de Karla Fidho est une peinture surréaliste représentant quatre manchots traversant une rue de New York. L’œuvre évoque le réalisme magique et pourrait être interprétée comme un commentaire sur le changement climatique. Elle fait référence à la pochette de l’album Abbey Road des Beatles.
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« Abstrait urbain coloré » d’Elke Palu représente une scène urbaine minimaliste avec des blocs géométriques, influencée par le constructivisme et le cubisme. L’utilisation des ombres et des contrastes souligne les formes architecturales, créant une composition qui explore l’équilibre entre le chaos visuel et l’ordre géométrique.
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« Anges de l’amour » de Jade Loupange est une œuvre photographique représentant un couple d’anges dans une scène intime. Inspirée par Pierre et Gilles, David LaChapelle et Jean-Paul Goude, elle défie les conventions traditionnelles associées aux anges, en les présentant comme des êtres sensuels et amoureux.
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« Ara rose et bleu » par Ása Snålmed est une photographie d’un perroquet en vol, capturant ses ailes déployées avec précision. L’image combine réalisme et surréalisme, rappelant les œuvres d’Audubon et Flach. Le fond sombre et les détails des plumes créent une tension visuelle et évoquent la dualité liberté-captivité.
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“Atop a skyscraper” de Jade Loupange dépeint une femme sur le bord d’un immeuble à New York, évoquant une atmosphère mystérieuse et mélancolique. Le style rappelle les photographies d’Annie Leibovitz et Diane Arbus, avec une référence à « Lunch atop a skyscraper ». Elle explore l’isolement dans un environnement urbain.
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